top of page

Notre société devient votre locataire

Tout Savoir sur la Sous-Location Saisonnière

La location saisonnière reste bien évidemment possible, mais sous certaines conditions. En effet, la législation reste très stricte sur le sujet et la moindre déviation entraîne l’application d’une amende conséquente. Voilà pourquoi, il est essentiel de prendre tous les renseignements dès le départ en tenant compte du loyer initial, des informations sur le bail classique et des obligations contractuelles.


intérieur de la chambre

Qu’est-ce que la sous-location saisonnière ?

La sous-location saisonnière consiste à louer un bien immobilier en tant que locataire à une autre personne. Généralement, cette pratique s’effectue durant une saison spécifique et sur une courte durée. Néanmoins, il est important d’obtenir le consentement du propriétaire et de respecter les conditions de la sous-location en fonction des lois locales et de la réglementation en vigueur.


upperkey logo

Comprendre les implications juridiques de la sous-location saisonnière

La sous-location saisonnière reste possible à condition de respecter certains éléments, comme le fait d’obtenir l’accord écrit du propriétaire. Par ailleurs, vous ne pouvez pas appliquer un loyer plus important que le montant initialement défini. Dans de telles conditions, il est clair que la sous-location saisonnière ne pourra engendrer des bénéfices. L’idée pour le locataire premier est de conserver son logement lorsque ce dernier s’absente sur une période moins longue.

 

Quelle est la différence entre la sous-location saisonnière et la sous-location classique ?

La différence majeure de la sous-location porte sur la durée et l’objectif du projet. En location saisonnière, la durée se veut relativement courte, généralement de quelques semaines afin de répondre à un besoin temporaire. Bien évidemment, impossible d’échapper à la réglementation spécifique. Concernant la sous-location classique, elle s’étale généralement de plusieurs mois à quelques années pour que le nouveau locataire puisse profiter d’un logement sur une période plus longue.


Bien évidemment, les conditions définies sur le bail principal devront être respectées et sachez que vous ne pouvez pas augmenter le prix de votre loyer, car les règles sont très strictes en la matière.


Droits et responsabilités du locataire principal et du sous-locataire

Concernant le locataire principal, celui-ci sera dans l’obligation de percevoir un loyer, avec bien évidemment un montant qui ne dépasse pas celui initialement versé. Il devra également conserver son bail principal et imposer des conditions spécifiques impliquant le respect de la législation locale. Si vous n’êtes pas à l’aise dans ce domaine, choisissez une agence spécialisée dans la location saisonnière pour une gestion touristique efficace.


Au niveau des responsabilités, le consentement du propriétaire doit être obtenu et le locataire devra respecter les termes du bail en communiquant les règles au sous-locataire. De son côté, ce dernier utilise le logement selon les conditions définies, dans des conditions équitables et il s’engage à payer le loyer, à entretenir le logement et à respecter toutes les conditions définies en amont.


Conditions de la sous-location saisonnière

Les conditions de la sous-location saisonnière ont déjà été vues dans le paragraphe précédent, mais pour les condenser ici, vous retrouvez l’obtention du consentement du propriétaire, le respect de la réglementation locale et bien évidemment l’obligation de définir un contrat de sous-location dans lequel les conditions de paiement sont définies, les responsabilités respectives, le montant et la durée du loyer. Sans oublier, le contrat devra impérativement reprendre tous les termes du bail principal.


Quelles sont les limites de durées typiques pour les sous-locations saisonnières ?

D’une manière générale, les limites de durée concernant la sous-location saisonnière sont définies par les réglementations locales dans le but de protéger le marché locatif.


Durées légales et recommandations

Afin de réaliser une location plus de 120 jours sur l’année, la maison devra impérativement être considérée comme une résidence secondaire. Dans le cas contraire, vous êtes automatiquement limité à quatre mois sur l’année. Par ailleurs, une réglementation locale plus spécifique peut parfois être mise en place et donc il est intéressant de prendre tous les renseignements auprès de la mairie ou de confier ce projet à une entreprise spécialisée dans la location saisonnière comme UpperKey.


Flexibilité et ajustements possibles

Pour des périodes plus longues, la flexibilité passe incontestablement par le bail mobilité. C’est une alternative intéressante à la sous-location traditionnelle avec une période comprise entre 1 et 10 mois. Ainsi, vous évitez la multiplication des locataires temporaires et vous conservez le bien sur une période de temps plus longue. Mais il faut savoir que le bail mobilité reste exclusivement réservé aux personnes se retrouvant en situation de mobilité professionnelle.


intérieur

Quels sont les risques et considérations à prendre en compte ?

Le sous-locataire n’a pas de protection légale, car il n’a pas de relations directes avec le propriétaire d’un point de vue juridique. De ce fait, si des travaux conséquents doivent être engagés, le sous-locataire sera dans l’obligation de s’orienter vers le locataire. De plus, le bail de sous-location prendra impérativement fin lorsque le bail du locataire se termine également. Pour éviter les mauvaises surprises, mieux vaut définir toutes les modalités dès le départ.


Risques financiers et légaux

Le locataire reste bien évidemment responsable de tous les dommages occasionnés au cours d’une sous-location. Lorsque des réparations importantes sont à effectuer, l’impact peut être considérable. De même, il faudra faire face au non-paiement du loyer, à l’application des frais de gestion et à l’augmentation des charges. Sans oublier les pertes de revenus potentiels ainsi que l’application d’une couverture d’assurance adaptée en fonction de la situation.


Comment établir un contrat de sous-location saisonnière ?

Les éléments clés à inclure dans un contrat

Dans un contrat de location saisonnière, il faudra intégrer le nom et les coordonnées des personnes et inclure la description du logement, sans oublier de préciser la durée de la sous-location. D’autres éléments sont impératifs comme les modalités de paiement, le montant du loyer, l’utilisation du logement, l’inventaire des biens, les clauses légales et les signatures.


L’importance d’un accord écrit

Un accord écrit permet de définir les responsabilités en cas de litige, mais d’assurer une protection des droits de chaque partie en parfaite conformité avec la législation afin d’éviter les malentendus et les conflits.


Conditions spécifiques à mentionner

Les conditions à mentionner reprennent les éléments définis plus haut en insistant sur les conditions d’assurance, les responsabilités pour les dommages, la politique d’annulation et le nombre d’occupants autorisés. Encore une fois, l’objectif est alors d’éviter les conflits.


La sous-location reste possible, à condition de respecter un cadre bien défini par la législation. Dans le cas contraire, le contrat de bail n’est pas conforme et des sanctions pénales peuvent être appliquées.


estimez vos revenus locatifs

Comments


Déterminez la valeur locative de votre propriété avec UpperKey comme locataire

bottom of page